Pour répondre aux contraintes du réchauffement climatique, l’École supérieure d’ingénieurs des travaux de la construction de Caen (ESITC) a mis en œuvre un projet consistant à recycler l’eau de pluie dans des pavés écologiques afin de la restituer et d’éviter les sensations de fortes chaleurs en été en zone urbaine.
ecologie
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D’Istanbul à Montréal, une histoire d’amour et d’artisans.
Cher lectorat de R Magazine, je traite dans cet article de la question suivante : Pourquoi Castellafiume est une ville inconnue de l’histoire, bien que ce soit l’un des nombreux foyers de peuplement ? Le village de Castellafiume, habité depuis le douzième siècle, a conservé un air authentique et je souhaitais aborder ce sujet, y étant personnellement attaché par mon histoire familiale.
La prise de conscience collective de l’impact de notre style de vie sur l’environnement a des conséquences majeures sur l’industrie textile, l’une des plus polluantes au monde, qui tente de s’adapter à cette nouvelle demande des consommateurs pour une mode plus durable et écologique.
Katia est brésilienne et Thomas, suisse. Deux nationalités, deux regards différents, mais un objectif commun. Après dix-huit ans passés à vivre et à voyager dans divers pays, ils se sont installés au Brésil et ont créé un projet qui se décline autour de modèles écologiques, sociaux et culturels : la Casa do Mundo.
Dans le cadre de la semaine des artisans, R Magazine est allé à la rencontre de l’artisane brodeuse, Ammeri Sahar, qui a récemment fondé sa marque nommée BADIA. Derrière ce nom charmeur se cachent des vêtements faits par et pour les femmes, mêlées à toute une histoire de tradition familiale.
À l’approche du rassemblement pour la COP26 à Glasglow, un projet artistique temporaire a été installé dans la rivière qui longe Bath, une ville du sud de l’Angleterre. Elle est le fruit de la collaboration du cabinet d’architectes Stride Treglown, des ingénieurs de chez Format Engineers et de la sculptrice Anna Gillespie. Ils ont rassemblé leurs talents pour diffuser un message de sensibilisation écologique et d’espoir.
La planète Terre est recouverte à 70 % d’océans, mais seule 3 % est douce. Près des trois quart d’eau douce proviennent des glaces polaires, et le dernier quart vient des surfaces souterraines.
Dans le cadre du projet de transformation de l’île Sainte-Thérèse en parc écotouristique, cet automne la Société pour la nature et les parcs (SNAP Québec) a invité les citoyens de l’Est de Montréal à participer à une œuvre de reboisement communautaire. La plantation de 5000 arbres supplémentaires sur l’île a fourni l’occasion aux bénévoles de poser des actions concrètes pour la nature mais, aussi, de partager une expérience enrichissante du point de vue humain et social.