Maky Madiba Sylla est un réalisateur d’origine sénégalaise qui a réalisé le documentaire El Maestro Laba Sosseh sorti en 2021. Ce réalisateur est engagé envers de nombreuses causes qu’il tente de mettre en lumière dans ses films. El Maestro Laba Sosseh retrace la vie du musicien connu à l’international : Laba Sosseh. Le réalisateur a trouvé important de lui consacrer un documentaire, afin de garder en mémoire son travail, et présenter au monde le côté joyeux et festif de l’Afrique.
Afrique
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Le retour en présentiel de la 39ème édition du festival international de cinéma Vues d’Afrique. Du 20 au 30 avril 2023 la cinémathèque québécoise a donné l’opportunité au festival de s’y dérouler.
Partons à la découverte d’un livre audio de comptines et berceuses africaines qui met en valeur les diverses cultures de ce grand continent.
Le kanga est un vêtement traditionnel de la culture swahilie. Cette pièce très portée en Afrique de l’Est se révèle être d’une utilité redoutable et insoupçonnée.
Le cheveu crépu et les coiffures qui en résultent sont profondément ancrés dans la vie quotidienne des Africains.e.s du continent et des diasporas. Le cheveu crépu est un cheveu fragile de par sa nature (plus sujet à la sécheresse et à la casse que les autres types de cheveux), il nécessite des soins constants. Une belle chevelure étant synonyme de bonne santé, de propreté et de bonne maintenance, les coiffures très élaborées qui en résultaient étaient fortement codifiées au sein des sociétés africaines avant les traites arabo-musulmanes et transatlantique, puis la colonisation.
Le cheveu crépu et ses coiffures revêtaient plusieurs aspects tant dans les sociétés traditionnelles africaines que dans les diasporas afrodescendantes.
Le cheveu est, avec la peau, un marqueur physique, visuellement apparent et permettant d’apprécier la richesse génétique de l’humanité. Dans cette série de trois articles, nous reviendrons sur le plus unique de tous : le cheveu crépu, ce cheveu qui défie la gravité et regarde vers les étoiles comme le feuillage d’un arbre.
Cette série intitulée « Irrévocablement Crépu.e » vous fera naviguer sur le cours turbulent de l’histoire de ce cheveu. Elle aura pour vocation de s’intéresser à la place de choix qu’il occupe dans la marche vers l’acceptation de soi et le retour vers les racines, deux tendances civilisationnelles « lourdes » qui traversent la communauté noire, africaine et afro-descendante.
La marque Cheliel a fait le choix d’une mode éthique et éco responsable tout en conservant sa production au Sénégal car adopter cette démarche a beaucoup plus d’enjeux que produire ses créations au plus proche de chez soi. C’est aussi faire travailler des artisans, mettre en lumière un savoir faire et participer à une économie.
Cheliel s’articule autour d’un hommage à leur Afrique natale. Quoi de mieux pour célébrer l’Afrique que de créer au cœur de celle-ci en mettant à l’honneur tout d’abord des techniques de tissages traditionnels et uniques. En effet, les tissus africains sont multiples et s’étendent au-delà du Wax qui a connu une grande popularité ces dernières années.
La capitale sénégalaise se place dans les premières, sur la scène culturelle africaine grâce à des actions de plus en plus nombreuses. Trames fait partie de ces actions. Ce tout jeune espace culturel oscille entre revalorisation et création de patrimoine.
Le Forum de la Société Civile en l’Afrique de l’Ouest (FOSCAO) a pour but d’aider les populations d’Afrique sur différents points. Des actions menées, comme le développement du code minier, visent à soutenir les habitants afin que leur mode de vie soit meilleur.
Komlan Messie, secrétaire général, nous présente le FOSCAO, son fonctionnement et ses objectifs !
Le 9 novembre 2021 marque la signature de l’acte de transfert de propriété de 26 œuvres pillées par la France au Benin. Cet évènement permet de se questionner sur l’importance de la restitution des œuvres d’art pillées au moment de la colonisation. Comment la restitution peut-elle s’inscrire dans un processus de réparation du préjudice colonial ?