Vargas Llosa es un escritor cuya pasión por el tema de la libertad, así como su maestría en la construcción de escenarios y la creación de personajes, provoca en sus lectores un sentimiento de simpatía fraternal. Su contribución a la literatura ha ido acompañada de una defensa de la libertad y un rechazo del pensamiento autárquico.
Escribo mi primera participación en R Magazine con alegría, acerca de un escritor cuya pasión por el tema de la libertad a lo largo de toda su vida y su obra y su maestría a la hora de construir escenarios y crear personajes, provocan, en todo aquel que lo lee, un sentimiento de sintonía fraternal. Su aportación por la literatura ha ido acompañada de una defensa por la libertad y un rechazo al pensamiento autárquico.
Hablo del premio Nóbel de literatura en 2010, el escritor y libre pensador, Mario Vargas Llosa. Su biografía y obra es hoy ampliamente difundida, por lo que, desde mi lugar, le rindo un homenaje, a partir de una de sus producciones: Pantaleón y las visitadoras. Debo confesar que desde que escuché el título, sentí mucha curiosidad por conocer la obra. Cuando pude verla en la pantalla grande, no pude más que reír durante la proyección.
La historia trata, de un militar del ejército peruano, de moral intachable, cuyos superiores le encomiendan, la tarea de implementar en un lugar recóndito en la selva, un servicio de prostitutas que calmen los impulsos de los soldados, durante su servicio. Por supuesto la contradicción entre los lineamientos de una institución vertical como es el Ejército y la aparente liberalidad del cuerpo de visitadoras, como se le conoce a las sexo-servidoras, altera el proyecto y todo termina en tragedia.
Como mencioné, el libertinaje forma parte de la familia de la libertad, pero obviamente no observa límites. Considero que Vargas Llosa plantea un problema que señaló cuando fue candidato presidencial en su natal Perú, cuestionando quizá a las democracias de Latinoamérica que por diversos motivos parecerían haber tenido una oportunidad de libertinaje, al decantarse por opciones populistas. De esta forma, las ideologías sin forma, pero llenas de fanatismo, se apoderan de los vulnerables votantes desde el Río Bravo y más allá, hasta la Patagonia, sin que al parecer haya poder humano que les haga frente.
Es aquí en dónde Vargas Llosa señala una vez más: “la literatura es fuego, está allí para señalar la realidad”, nos recuerda el literato. Voces como la suya parecen ser cada vez menos, y su relevancia se confunde en nuestra sociedad.
Vargas Llosa est un écrivain dont la passion pour le thème de la liberté, ainsi que sa maîtrise dans la construction de scénarios et la création de personnages provoquent chez son lectorat, un sentiment de sympathie fraternelle. Sa contribution à la littérature s’est accompagnée d’une défense de la liberté et d’un rejet de la pensée autarcique.
C’est avec joie que j’écris ma première contribution à R Magazine, sur un écrivain dont la passion pour le thème de la liberté tout au long de sa vie ainsi que ses œuvres et sa maîtrise dans la construction de scénarios et la création de personnages provoquent chez son lectorat un sentiment de sympathie fraternelle. Sa contribution à la littérature s’est accompagnée d’une défense de la liberté et d’un rejet de la pensée autarcique.
Je parle ici du prix Nobel de littérature 2010 : l’écrivain et libre penseur Mario Vargas Llosa. Sa biographie et ses œuvres sont, aujourd’hui, largement diffusées et de ma position, je lui rends hommage, en commençant par l’une de ses productions : « Pantaleón y las visitadoras ». Je dois avouer que lorsque j’ai entendu le titre, j’ai été très curieux de connaître l’œuvre. Et quand j’ai eu l’opportunité de le voir sur le grand écran, je n’ai fait que rire tout le long de la projection.
L’histoire est celle d’un soldat de l’armée péruvienne, à la moralité irréprochable qui se voit confier par ses supérieurs la tâche de mettre en place un service lié à la prostitution dans un endroit reculé de la jungle et ce, pour calmer les pulsions des soldats pendant leur mission. Bien sûr, la contradiction entre les directives d’une institution verticale comme l’armée et l’apparente libéralité du corps des visiteurs, comme on appelle les serviteurs sexuels, modifie le projet et tout se termine en tragédie.
Comme je l’ai dit, le libertinage fait partie de la famille de la liberté, mais il est évident qu’il n’observe pas de limites. Je crois que Vargas Llosa soulève un problème qu’il a signalé lorsqu’il était candidat à la présidence dans son pays natal, le Pérou, remettant peut-être en question les démocraties d’Amérique latine qui, pour diverses raisons, semblent avoir eu l’occasion de faire preuve de libertinage, en choisissant des options populistes. Ainsi, des idéologies sans forme, mais pleines de fanatisme, s’emparent des électeurs vulnérables du Rio Bravo et au-delà, jusqu’en Patagonie, sans qu’aucune puissance humaine ne semble pouvoir leur résister.
C’est là que Vargas Llosa met, une fois de plus, le doigt : « La littérature est un feu, elle est là pour montrer la réalité », nous rappelle-t-il. Des voix comme la sienne semblent de moins en moins nombreuses, et leur pertinence s’estompe dans notre société.
Crédit couverture : Getty Images / A. Barry