Pourquoi parler du fanatisme peut sembler répétitif, presque quotidien ? Et bien, voyons-le ainsi : selon les données de l’unité des renseignements de l’indice de démocratie de The Economist, par rapport à l’année 2021, 70 % de la population mondiale vit sous un régime de type « autocratique », ou dans une démocratie considérée comme « défaillante », produit d’un coup d’État, ou plus souvent, le résultat d’élections libres.
¿Por qué hablar acerca del fanatismo puede resultar redundante, casi cotidiano? Bueno, veámoslo así: según datos de la Unidad de Inteligencia del índice de democracia de The Economist, correspondiente al año 2021, el setenta por ciento de la población mundial vive bajo un régimen de tipo autocrático, o en una democracia considerada como deficiente, producto de un golpe de Estado, o lo que sucede más frecuente, como resultado de unas elecciones libres.
Pourquoi parler du fanatisme peut sembler répétitif, presque quotidien ? Et bien, voyons-le ainsi : selon les données de l’unité des renseignements de l’indice de démocratie de The Economist, par rapport à l’année 2021, 70 % de la population mondiale vit sous un régime de type « autocratique », ou dans une démocratie considérée comme « défaillante », produit d’un coup d’État, ou plus souvent, le résultat d’élections libres.
Dans lesdites élections, comme récemment aux Philippines, ont eu lieu des campagnes de désinformation pendant lesquelles les réseaux sociaux ont fait pencher la balance vers une tendance autarcique, en répétant des messages de haine fanatique. De cette manière, le fanatisme regorge de messages qui peuvent s’avérer inexacts ou faux (comme quand Trump a affirmé que les démocrates étaient des malfaiteurs), mais qui s’avèrent utiles pour les pouvoirs politiques autoritaires.
¿Por qué hablar acerca del fanatismo puede resultar redundante, casi cotidiano? Bueno, veámoslo así: según datos de la Unidad de Inteligencia del índice de democracia de The Economist, correspondiente al año 2021, el setenta por ciento de la población mundial vive bajo un régimen de tipo autocrático, o en una democracia considerada como deficiente, producto de un golpe de Estado, o lo que sucede más frecuente, como resultado de unas elecciones libres.
En dichas elecciones, como en el caso reciente de Filipinas, tuvo lugar como elemento común, una campaña de desinformación en la que las redes sociales inclinaron la balanza hacia una tendencia autárquica, a partir de repetir mensajes de tipo de odio fanático. De esta forma, el fanatismo es una fuente infinita de mensajes que pudieran resultar inexactos o falsos, (como cuando Trump afirmó que los demócratas eran unos malhechores), pero que resultan útiles para los poderes políticos autoritarios.
Qu’est-ce que le fanatisme ?
Cela peut être le fruit d’une croyance qui déploie une ardeur aveugle et irréfléchie, dans le sens dont le fanatique défend son point de vue sans accepter les opinions contraires, et peut même les attaquer en usant de la violence.
Nous pouvons l’observer dans le milieu social religieux, politique, etc. Les croyances prennent racine dans les masses et amènent leurs partisans à réaliser diverses actions, par exemple : élire librement un gouvernement autoritaire, unipersonnel. Dans les annales de l’Histoire, nous pouvons voir que les guerres causées par des croyances religieuses se succèdent les unes aux autres, y compris pendant des périodes qui dépassent les cent ans. Amos Oz, auteur d’innombrables ouvrages, est un auteur qui a écrit contre le fanatisme. Cet écrivain et libre penseur hébreu a dessiné le paysage des relations israélo-palestiniennes et leur a donné une dose d’optimisme… son message est clair : il est relativement plus facile d’agir avec violence quand nous faisons face à un fanatique, que d’essayer de le convaincre de quelque chose d’autre. Cet auteur, qui vit avec cette pensée depuis son enfance, quand il jouait dans les rues de Jérusalem, nous donne l’espoir que la tolérance peut émerger chez l’homme. En particulier quand il voit sa liberté compromise, par exemple : la liberté de faire l’éloge ou de s’éloigner d’un tyran, autrement dit, la démocratie.
¿Qué es el fanatismo?
Puede ser una creencia que despliega un celo ciego e irreflexivo, en el que el fanático defiende su punto de vista sin aceptar opiniones contrarias, e incluso atacándolas con violencia.
Lo podemos ver en el campo social de lo religioso, de lo político, y otros más. Las creencias se arraigan en las masas y llevan a sus seguidores a realizar cualquier tipo de acción, como podría ser: elegir libremente un gobierno autoritario, unipersonal. En los anales de la Historia, vemos que las
guerras originadas por creencias religiosas se suceden unas a otras, incluso por períodos que superan los cien años. Un autor que escribió
en contra del fanatismo fue Amos Oz: autor de innumerables novelas y cuentos, entre otras publicaciones. Este escritor y libre pensador hebreo
delineó el paisaje de las relaciones palestino-judías y les dio una carga de optimismo… su mensaje es claro: es relativamente más fácil actuar
con violencia cuando conocemos a un fanático, que procurar convencerlo de algo diferente. Este literato, que desde niño vivió con este pensamiento, cuando jugaba en las calles de Jerusalén, nos da una señal de esperanza cuando la tolerancia puede surgir en el hombre. En especial, cuando se ve comprometida su libertad, por ejemplo: la libertad de encumbrar o de quitar a un tirano, o sea, la democracia.