
Dans un passé pas si lointain, débarque au Québec, Angélique ou Blacky Gyan, avec pour seuls bagages, plein de fringues surtout made in Dakar et des diplômes et expériences en finances obtenus en France et au Sénégal. Consciente des opportunités qui s’offrent à elle, la trentenaire d’aujourd’hui n’a eu cesse de faire délier les langues par ses « innombrables projets ». Piquée par la fougue entrepreneuriale de Monsieur et Madame ses parents, elle est devenue une serial-shepreneur sociale qui ose se parer de plusieurs titres tels que, entre autres : modèle, co-fondatrice du concept-store Cheliel, fondatrice de R Magazine, une des TravelEaters derrière LekkTukki, cooking addict, pseudo designer de mode, … Plongée dans le monde florissant des arts et culture et de l’entrepreneuriat à Montréal, l’épi-curieuse afro woman Angélique est très engagée dans « ses communautés ».

Originaire de Montpellier dans le sud de la France, elle vit à Montréal, au Canada depuis 2013. Avide de voyages, de découvertes et d’expériences, elle est animée par ses rêves et ses défis permanents.
Suite à ses études de communication, elle a développé son site internet personnel d’art dans le but de partager ses coups de cœur dans ce domaine.
Ayant développé le goût pour l’écriture depuis une dizaine d’années, c’est donc tout naturellement qu’elle a rejoint l’équipe de rédaction du magazine pour la parution du n°2. Passionnée par la communication numérique et graphique, elle participe à la promotion web de R Magazine en animant les communautés des médias sociaux tels que Facebook, Twitter et Pinterest. Ayant plus d’une corde à son arc, elle participe aussi à la mise en page du magazine en collaboration avec les autres graphistes.

Riche en expérience … dotée d’une belle plume … élégante … coupable d’être soucieuse du bien-dire… voilà la réviseure rêvée de toute personne qui cherche à résoudre les énigmes verbales à la Shakespeare !

Passionnée par les voyages et le caritatif, elle est très imaginative avec un esprit curieux et le souci du détail. Elle exerce un métier diamétralement opposé et on peut dire qu’elle assume très bien cette cohabitation des chiffres avec les lettres.
Marie Agathe apporte, dans ses traductions, une touche d’Angleterre, pays où elle a vécu plusieurs années.


Originaire de Suisse et du Brésil, elle est à Montréal pour quelques mois. Formée en travail social, elle adore découvrir des nouveautés culinaires et rencontrer de nouvelles personnes. Le sport, les chats et les voyages sont à la base de son bien-être général. Les discussions animées sur différents sujets la stimulent beaucoup et elle a toujours soif d’apprendre. C’est donc avec un grand intérêt qu’elle souhaite embarquer à bord du R Magazine !

Photographe et graphiste pour de grands artistes de la scène sénégalaise ; Correspondant Afrique d’un magazine franco-américain ou encore chargé de production d’émissions à succès sur deux grandes chaines télévisées sénégalaises, il a récemment participé à une télé-réalité avec à la clé, pour le gagnant, une reconnaissance à travers l’Afrique en tant que styliste, entre autres.

Dans un passé pas si lointain, débarque au Québec, Angélique ou Blacky Gyan, avec pour seuls bagages, plein de fringues surtout made in Dakar et des diplômes et expériences en finances obtenus en France et au Sénégal. Consciente des opportunités qui s’offrent à elle, la trentenaire d’aujourd’hui n’a eu cesse de faire délier les langues par ses « innombrables projets ». Piquée par la fougue entrepreneuriale de Monsieur et Madame ses parents, elle est devenue une serial-shepreneur sociale qui ose se parer de plusieurs titres tels que, entre autres : modèle, co-fondatrice du concept-store Cheliel, fondatrice de R Magazine, une des TravelEaters derrière LekkTukki, cooking addict, pseudo designer de mode, … Plongée dans le monde florissant des arts et culture et de l’entrepreneuriat à Montréal, l’épi-curieuse afro woman Angélique est très engagée dans « ses communautés ».

Originaire de Montpellier dans le sud de la France, elle vit à Montréal, au Canada depuis 2013. Avide de voyages, de découvertes et d’expériences, elle est animée par ses rêves et ses défis permanents.
Suite à ses études de communication, elle a développé son site internet personnel d’art dans le but de partager ses coups de cœur dans ce domaine.
Ayant développé le goût pour l’écriture depuis une dizaine d’années, c’est donc tout naturellement qu’elle a rejoint l’équipe de rédaction du magazine pour la parution du n°2. Passionnée par la communication numérique et graphique, elle participe à la promotion web de R Magazine en animant les communautés des médias sociaux tels que Facebook, Twitter et Pinterest. Ayant plus d’une corde à son arc, elle participe aussi à la mise en page du magazine en collaboration avec les autres graphistes.

Camerounaise installée en France depuis quelques années déjà. Elle a souvent été bénévole ou volontaire. Seulement, c’est la première fois qu’elle l’est pour un média comme R Magazine dont elle partage les valeurs. Elle a beaucoup d’intérêt pour les cultures, l’histoire et les civilisations humaines. Elle est fana de lecture, de stylisme et de DIY.

Jeune française expatriée au Sénégal depuis 2018, elle pourrait se définir comme une amoureuse d’objets d’arts. Elle est clerc de commissaire-priseur de formation. Elle a commencé par le notariat après ses études de Droit. Elle a découvert sa passion grâce aux Succesions qu’elle gérait avec les commissaires-priseurs. Elle a donc tout arrêté pour passer une licence en histoire de l’Art et devenir clerc. Mais voilà, son conjoint devait partir en Afrique, et elle a décidé de le suivre ! Le système des enchères n’existant pas à Dakar, elle s’est reconvertie. Elle a d’abord ouvert une galerie d’Art contemporain, puis elle s’est tournée vers la Communication. Aujourd’hui, elle mêle son travail et sa passion et communique principalement pour des Galeries et des Institutions Culturelles.

Elle est à la retraite depuis presque 3 ans et contrairement à ce que son entourage pensait, elle ne s’ennuie pas (même en temps de pandémie). Elle était enseignante en immersion française pendant 35 ans. Elle a adoré ce métier mais elle était prête à passer à autre chose. Prête à déambuler dans les rues de Montréal, à voir des expositions, à lire, à voir des spectacles de toutes sortes, à voyager davantage. Elle est prête à vous raconter la vie de gens comme vous et elle qui ont comme passion les arts.

Enola, rien que le prénom sonne créatif.
Depuis petite elle a une imagination et une soif de crée débordante.
Elle s’intéresse d’abord à l’écriture, puis à la psychologie, ensuite au théâtre, au cinéma, au costume, à la photographie et cela n’en finit jamais. Elle rêve de vivre de ses passions et de les partager au Monde. Rien de mieux pour laisser une trace que l’écriture. Elle n’a pas peur de se battre pour ses idées et ses valeurs.

Originaire de Suisse et du Brésil, elle est à Montréal pour quelques mois. Formée en travail social, elle adore découvrir des nouveautés culinaires et rencontrer de nouvelles personnes. Le sport, les chats et les voyages sont à la base de son bien-être général. Les discussions animées sur différents sujets la stimulent beaucoup et elle a toujours soif d’apprendre. C’est donc avec un grand intérêt qu’elle souhaite embarquer à bord du R Magazine !


Dans un passé pas si lointain, débarque au Québec, Angélique ou Blacky Gyan, avec pour seuls bagages, plein de fringues surtout made in Dakar et des diplômes et expériences en finances obtenus en France et au Sénégal. Consciente des opportunités qui s’offrent à elle, la trentenaire d’aujourd’hui n’a eu cesse de faire délier les langues par ses « innombrables projets ». Piquée par la fougue entrepreneuriale de Monsieur et Madame ses parents, elle est devenue une serial-shepreneur sociale qui ose se parer de plusieurs titres tels que, entre autres : modèle, co-fondatrice du concept-store Cheliel, fondatrice de R Magazine, une des TravelEaters derrière LekkTukki, cooking addict, pseudo designer de mode, … Plongée dans le monde florissant des arts et culture et de l’entrepreneuriat à Montréal, l’épi-curieuse afro woman Angélique est très engagée dans « ses communautés ».

Originaire de Montpellier dans le sud de la France, elle vit à Montréal, au Canada depuis 2013. Avide de voyages, de découvertes et d’expériences, elle est animée par ses rêves et ses défis permanents.
Suite à ses études de communication, elle a développé son site internet personnel d’art dans le but de partager ses coups de cœur dans ce domaine.
Ayant développé le goût pour l’écriture depuis une dizaine d’années, c’est donc tout naturellement qu’elle a rejoint l’équipe de rédaction du magazine pour la parution du n°2. Passionnée par la communication numérique et graphique, elle participe à la promotion web de R Magazine en animant les communautés des médias sociaux tels que Facebook, Twitter et Pinterest. Ayant plus d’une corde à son arc, elle participe aussi à la mise en page du magazine en collaboration avec les autres graphistes.

Riche en expérience … dotée d’une belle plume … élégante … coupable d’être soucieuse du bien-dire… voilà la réviseure rêvée de toute personne qui cherche à résoudre les énigmes verbales à la Shakespeare !

Passionnée par les voyages et le caritatif, elle est très imaginative avec un esprit curieux et le souci du détail. Elle exerce un métier diamétralement opposé et on peut dire qu’elle assume très bien cette cohabitation des chiffres avec les lettres.
Marie Agathe apporte, dans ses traductions, une touche d’Angleterre, pays où elle a vécu plusieurs années.

Ancien étudiant de l’Université de Strasbourg, il a entrepris des études en littérature française et a obtenu une Licence de Lettres modernes en 2016 ainsi qu’un master en littérature française et littérature comparée. Le choix de ce parcours répondait pour lui à la nécessité de maitriser toutes les ressources de la langue française. Dans le cadre de ses études en littérature, il a rédigé un mémoire très marquant pour lui sur la notion de l’imaginaire chez Jules Verne et Edgar Poe.
Les domaines qui l’intéresse sont, notamment, la littérature et les musiques actuelles ainsi que tout ce qui a trait au cinéma d’auteur.


Elle est française, née en France, d’origine vietnamienne, toutefois élevée dans les traditions vietnamiennes, raison pour laquelle elle parle et écrit vietnamien, mal, certes !
Elle rentre dans sa 60ème année.
Elle est en pré-retraite un peu forcée et a souhaité mettre au service d’associations sa disponibilité et son savoir-faire acquis tout au long d’une carrière dans l’emballage cosmétique.

Née en région parisienne d’une belle rencontre à l’ambassade de France à Washington DC entre son père alors en mission pour le gouvernement français et sa mère née à Saint-Georges (Beauce canadienne), alors secrétaire de direction. Docteure en pharmacie, elle vit actuellement à Annecy en Haute-Savoie depuis 37 ans et est mère de 3 enfants. Elle a été bercée par les souvenirs d’enfant de sa mère, son père étant décédé lorsque qu’elle avait 18 mois. Comment se définit-elle ? Elle aime les gens, l’autre, les langues étrangères, échanger juste comme ça, pour établir le lien même s’il est éphémère, écouter, plaisante, chercher et parfois trouver des solutions, vivre le moment présent en pleine conscience ou du moins essayer, les balades sur les longues plages désertes qu’il pleuve ou qu’il vente, le murmure du feuillage au souffle du vent, ramasser des cailloux, observer la faune et la flore dans leurs milieux naturels au hasard des promenades. Elle aime Kandinsky, Cézanne, Picasso, Klimt, la purée d’amandes, les mots croisés, écrire, dessiner peindre, les chats. Elle aime lorsque le jour laisse place à la noirceur, cette frontière floue entre chien et loup, les craquements du bois qui flambe dans l’âtre et les ombres complices qui dansent sur les murs, l’odeur du musc, de l’herbe fraîchement coupée et du lilas. Elle déteste l’injustice, le mépris des plus faibles, la maltraitance, l’arrogance, les réveille-matin, les miettes en déshérence sur la table, l’odeur du chlore et les fautes d’orthographe bien sûr !

Elle est à la retraite depuis presque 3 ans et contrairement à ce que son entourage pensait, elle ne s’ennuie pas (même en temps de pandémie). Elle était enseignante en immersion française pendant 35 ans. Elle a adoré ce métier mais elle était prête à passer à autre chose. Prête à déambuler dans les rues de Montréal, à voir des expositions, à lire, à voir des spectacles de toutes sortes, à voyager davantage. Elle est prête à vous raconter la vie de gens comme vous et elle qui ont comme passion les arts.

Originaire de Suisse et du Brésil, elle est à Montréal pour quelques mois. Formée en travail social, elle adore découvrir des nouveautés culinaires et rencontrer de nouvelles personnes. Le sport, les chats et les voyages sont à la base de son bien-être général. Les discussions animées sur différents sujets la stimulent beaucoup et elle a toujours soif d’apprendre. C’est donc avec un grand intérêt qu’elle souhaite embarquer à bord du R Magazine !

Né à Rouen (Normandie) mais ayant vécu la majeure parti de sa vie en Belgique et au Luxembourg, Matthias est passionné de littérature et de voyages. Après avoir gagné un prix pour une nouvelle écrite dans le cadre d’un concours en 2018, il décide de donner à ses études scientifiques un ton littéraire, pour développer sa culture qu’il pense essentielle à une meilleure compréhension du monde dans lequel nous vivons. Son attrait pour l’évasion l’a ensuite poussé en 2021 à déménager à Montréal, au Quebec, pour suivre des études à Polytechnique. Il aspire, depuis, devenir ingénieur en aéronautique, tout en continuant d’écrire pour promouvoir la culture.

Parisienne trentenaire, exerçant une activité salariale dans le domaine des chiffres, elle est une grande passionnée de photographie qu’elle exerce à ses heures perdues, sous le pseudo «The glob’girl». La photographie représente, en effet, pour elle un moyen d’exprimer la fibre artistique qui l’a toujours animée, dès son plus jeune âge, période durant laquelle elle adorait dessiner. D’ailleurs, il lui arrive de reprendre le crayon pour griffonner des idées pour ses futurs shootings. Ses inspirations actuelles contribuent à la mise en valeur de la féminité quand elle n’essaye pas de délivrer des messages d’amour et d’harmonie raciale. Toutefois, un de ses prochains défis sera de collaborer avec des modèles masculins.

Ray est un photographe d’origine indonésienne basé à Paris. Autodidacte, ses travaux sont tournés vers les photographies de voyages effectués essentiellement en Asie et en Europe. Il travaille récemment sur un projet mettant en scène différents portraits de personnes rencontrées dans les 4 coins du monde et leur perception de la vie.

Jeune française expatriée au Sénégal depuis 2018, elle pourrait se définir comme une amoureuse d’objets d’arts. Elle est clerc de commissaire-priseur de formation. Elle a commencé par le notariat après ses études de Droit. Elle a découvert sa passion grâce aux Succesions qu’elle gérait avec les commissaires-priseurs. Elle a donc tout arrêté pour passer une licence en histoire de l’Art et devenir clerc. Mais voilà, son conjoint devait partir en Afrique, et elle a décidé de le suivre ! Le système des enchères n’existant pas à Dakar, elle s’est reconvertie. Elle a d’abord ouvert une galerie d’Art contemporain, puis elle s’est tournée vers la Communication. Aujourd’hui, elle mêle son travail et sa passion et communique principalement pour des Galeries et des Institutions Culturelles.

Photographe et graphiste pour de grands artistes de la scène sénégalaise ; Correspondant Afrique d’un magazine franco-américain ou encore chargé de production d’émissions à succès sur deux grandes chaines télévisées sénégalaises, il a récemment participé à une télé-réalité avec à la clé, pour le gagnant, une reconnaissance à travers l’Afrique en tant que styliste, entre autres.
Zachary Magyar Cantin, originaire de Montréal, est animé par une profonde volonté de contribuer à sa communauté et de faire une différence significative dans la vie des autres. Ses modestes débuts en tant qu’apiculteur et cueilleur de bleuets l’ont dirigé vers l’altruisme et le dévouement envers des causes humanitaires.
Après avoir grandi à Montréal et travaillé au Nouveau-Brunswick dans l’entreprise familiale liée à l’apiculture et à la récolte de bleuets, il a développé une solide éthique de travail et une profonde appréciation pour la nature. Son amour pour les grandes villes l’a finalement ramené à Montréal, où il a recherché de nouvelles opportunités pour contribuer.
En rejoignant R Magazine, une entreprise dynamique dédiée à la croissance culturelle et à l’engagement communautaire, il s’est activement impliqué dans le soutien des événements communautaires et les efforts de collecte de fonds.
Au sein de R Magazine, Zachary a démontré sa polyvalence en résolvant des problèmes du site web, en ajoutant des emplacements d’événements à la plateforme et en aidant dans la transcription et la traduction de vidéos importantes.
Parallèlement, il exerce depuis près de 10 ans le métier de technicien de scène, créant des expériences visuelles et sonores immersives pour enrichir les événements culturels et artistiques.
Son aspiration à élargir davantage son impact dans le domaine humanitaire se manifeste par la création d’événements culturels et artistiques inspirants, repoussant les limites de l’expérience artistique et renforçant les partenariats et les collaborations avec d’autres organisations du domaine humanitaire.
Grâce à sa combinaison unique de compétences techniques, de passion pour l’art et la technologie, ainsi que son engagement envers la communauté, Zachary Magyar Cantin est un catalyseur inspirant du changement et un fervent défenseur de la croissance culturelle.





























































































































